Histoire du Blackjack

Le blackjack est un jeu tellement passionnant qu’énormément de joueurs de casino au Canada s’y essaient tôt ou tard. En tant qu’amoureux de ce jeu, nous adorons l’histoire qui l’a fait connaître d’un océan à l’autre. Vous allez découvrir avec nous, dans un premier temps l’origine du nom « blackjack », puis ensuite nous allons parcourir le passé pour comprendre quels sont les jeux à l’origine de ce jeu de table que tant de personnes au pays adorent.
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L’histoire du nom « Blackjack »
Le blackjack tient son nom d’un bonus que des casinotiers américains ont imaginé pour attirer un maximum de joueurs lorsque ce jeu n’était pas encore très populaire, une prime généreuse qui demandait au joueur de présenter un as de pique et un valet noir. « Valet noir » se disant « blackjack » en anglais, vous comprenez donc l’origine du nom. Ce bonus s’est rapidement répandu en Amérique du Nord et le jeu a été adopté dans les salles de jeu canadiennes. Mais avant que cela ne survienne au début du 20ème siècle, vous imaginez bien qu’une longue histoire s’est déroulée auparavant. C’est celle que nous allons vous conter maintenant.
Les jeux qui ont inspirés le Blackjack
Pour retrouver les jeux qui ont inspirés le jeu du blackjack, il faut repartir en Italie au 15ème siècle, c’est de cette date qu’on tire les premiers écrits qui nous parlent du « 31 » et du « 7 1/2 », les deux jeux qui seraient à l’origine du « 21 », ensuite devenu le « blackjack » que l’on pratique aujourd’hui au Canada.
Le « 31 »
Ici, le but du jeu était d’obtenir un tirage assez favorable pour atteindre le total de 31 pour sa main ou de s’en rapprocher un maximum. La valorisation des cartes existait déjà, elle était identique à celle d’aujourd’hui, sans la double valeur pour l’as.
La grande différence avec le blackjack d’aujourd’hui, c’est que vous n’aviez pas toutes les actions comme s’assurer par exemple. Vous ne pouviez pas non plus « brûler » si vous dépassiez le score de 31. On remarque donc pas mal de similitudes dans le principe du jeu mais les caractéristiques un peu plus détaillées sont arrivées après.
Le « 7 ½ »
C’est justement avec le 7 ½ que beaucoup de spécificités sont venues se rajouter comme par exemple le fait de brûler. En effet, le but étant d’atteindre 7 ½ ou en tout cas de s’en rapprocher un le plus possible, le joueur qui dépassait cela se voyait éliminer de la partie instantanément.
Aucune règle n’était appliquée au croupier pour l’action « tirage », il pouvait tirer des cartes, autant qu’il voulait et lorsqu’il le voulait, rien ne le limitait. Du fait que le total à atteindre était aussi moindre, les cartes de 2 à 7 n’étaient pas incluses dans le sabot.
L’évolution de ces jeux vers le « 21 »
Du fait de la forte ressemblance entre ces jeux, à travers le temps, ils se sont naturellement mixés pour devenir le 21. Popularisé dans l’Europe francophone au cours du 18ème siècle sous le nom de « vingt-et-un », le jeu a ensuite traversé l’Atlantique pour s’ancrer en Amérique du Nord, notamment dans les territoires qui formeront le Canada.
Les règles sont quasiment identiques à celles du blackjack moderne. Le score à atteindre a été réduit, on pense par soucis de rapidité dans le jeu, on a voulu l’accélérer. C’est aussi avec le 21 que l’as prend deux valeurs, soit 1 point, soit 11 points, selon ce qui arrange le joueur.
Le Blackjack se répand
Depuis l’Europe, le blackjack s’est diffusé à travers l’Amérique du Nord. Au Canada, son essor s’est affirmé au 20ème siècle, puis avec la mise en place de cadres provinciaux de réglementation des jeux. À partir des années 1970, des salles de jeu sous licence ont commencé à proposer le blackjack, avant l’ouverture de grands complexes où il est aujourd’hui incontournable, comme le Casino de Montréal, le Fallsview Casino Resort à Niagara Falls ou le River Rock Casino Resort en Colombie‑Britannique. Le blackjack fait désormais partie des jeux de table les plus appréciés des joueurs au Canada, en établissements terrestres comme en ligne.